Les jardins du Chalet: Serres pour l'hiver

samedi 19 novembre 2011

Serres pour l'hiver

Des serres commencent à être installée dans le jardin, pour pouvoir produire quelques légumes d'hiver...

Merci aux porteurs de cette initiative !

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Jardin partagé (collectif autogéré) de la rue du Chalet : concepts

Notre jardin "partagé" de la rue du Chalet, s'apparente en réalité plus à un "jardin public collectif autogéré" et même à un "espace public" géré par les riverains avec, en plus du jardinage convivial et collectif, l'ambition d'être un lieu de lien social, de convivialité et un espace disponible pour l'organisation de micro-évènements de quartier (piques-niques, interventions musicales et artistiques, animations éducatives en plein air pour les enfants, botaniques ou non...).

Comme le veut la "charte main verte" de la Ville de Paris, mais comme nous le voulons nous aussi encore plus fort, ce jardin est OUVERT au public, dès lors qu'un adhérent l'ouvre pour y entrer lui même.

A ces divers titres, notre jardin accueille notamment :

- quelques huitaines de bacs à plantations les plus diverses (et les plus folles, car nous aimons aussi les "herbes folles") jardinés de façon conviviale et collaborative, c'est à dire au hasard des interventions de chacun, selon son talent et ses compétences (et pourtant, malgré ce bazar inorganisé, nous avons eu des tomates cet été ! Partagées lors de piques-niques ouverts à tous, naturellement)

- un "coin réunion - pique-nique", avec de quoi asseoir au moins 15 personnes à la fois... souvent pour des piques niques "ouverts à tous"

- une "pyramide" végétale, qui peut faire (et a déjà fait) office de scène pour un spectacle musicale ou autre, et sert aussi de zone de jeux pour les enfants

- plusieurs coins destinés aux enfants, avec un "bac à patouille", des tables d'écolier pour dessiner en plein air...

Tout ça dans 170 m² ! Et pour presque autant d'adhérents (130 adhérents à ce jour... + tous les riverains et sympathisants qui visitent ou profitent du jardin quand l'un des adhérents ouvre la porte...)

Il fallait oser !!

Nous osons !